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France Réveille-toi !
FRANCE, IL EST L’HEURE DE TE REVEILLER ET DE TE LEVER !
France, si tu penses que je viens te faire la morale, tu as raison ; si tu te trouves offensée, ça prouvera que ce que je t’écris est vrai et j’espère que tu verras en toi suffisamment de honte pour te repentir.
Trop fatiguée par ta flemme, tu fais tout ce que tu peux pour travailler le moins possible, et maintenant que tu en as besoin, ceux qui t’employaient sont partis chercher des ouvriers ailleurs. Tu as oublié que la liberté vraie a un prix : un travail ardu au lieu de la fainéantise et l’épargne au lieu de l’emprunt.
J’ai vu depuis longtemps que tu es assourdie ; tu as l’air de somnoler avec un œil ouvert comme si tu te voulais en garde, mais ton regard n’est qu’à l’affût des choses nécessaires à ton loisir.
Tu as été trop occupée par tes poursuites égoïstes, et tu as oublié que la liberté vraie a un prix : celui de l’amour pour ton prochain et de la justice.
Gonflée par ton orgueil, tu avances dans l’histoire en te voulant Reine, pensant que ta beauté et ta réputation te seraient suffisantes pour te faire respecter. Mais dans ton arrogance, tu as oublié que la liberté vraie a un prix : celui de l’humilité et de la responsabilité morale.
Comme une fille désobéissante, toi, la soit disant « fille aînée de l’Eglise » comme tu étais appelée autrefois, tu dédaignes les enseignements et les commandements de ton Créateur, et tu as oublié que la liberté vraie a un prix : celui d’une foi vivante en Dieu.
Ma chère France, la poussière s’accumule sur toi, et ta maison se remplit de toiles d’araignées et de vermine. Toi qui étais toujours prête à défendre ta liberté chérie comme tu le chantais si vaillamment, tu te réveilles pour réaliser que tes mains sont prises dans des menottes invisibles et que la peur commence à monter en toi. Qu’est-il advenu de ton courage ?
As-tu perdu tout sens de ce qu’est la vie ? Va-t-il falloir que ton Créateur autorise plus de malheurs afin de te réveiller ? Vas-tu te retourner sous tes couvertures en fermant les yeux sur ce qui te saisit aujourd’hui, comme si rien ne s’était passé, jusqu’à ce que quelqu’un vienne mettre le feu à ton lit ?
Malheur à vous ses dirigeants, vous qui vous détournez avec dédain de votre Créateur comme s’il n’avait aucun droit sur Son peuple. Vous prêchez l’évolution à vos enfants ; vous qui leur mentez en leur enseignant qu’ils descendent d’un singe, pourquoi vous étonnez-vous quand ils se comportent comme des animaux ? Vous leur dites que la Bible est remplie de sornettes ; c’est pourtant elle qui vous dit aujourd’hui : « Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu. Ce qu'un homme aura semé, il le moissonnera aussi. » Repentissez-vous car la colère de Dieu va fondre sur vous avec plus de force !
Tu penses France que tu grandis en amour parce que tu te permets de tolérer ce qui te faisait honte il y a seulement quelques dizaines d’années. Deux hommes qui couchent ensemble te sont maintenant un honneur. Tu oublies que l’amour véritable, (qui est uni à la liberté vraie comme la musique avec ses notes comme l’a si bien dit un de tes académiciens) ne peut se plaire d’un comportement qui va finir en destruction pour ces pauvres bougres, à moins qu’ils ne se repentent de leurs odieux chemins !
Devrais-je continuer à énoncer ton péché ma chère France ? Te parler de la folie de tes voies insensées qui dit que la vie d’un enfant dans la matrice de sa mère n’est qu’un morceau de chair sans vie, un ennui qu’on jette à la poubelle ! Toi qui traites si mal les Juifs à qui tu dois les saintes Ecritures, qui ont été ton guide pendant si longtemps, tu as oublié que la Bible t’avertit que ceux qui maudissent les Juifs seront aussi maudits par Dieu. Commences-tu à récolter tes semences ma France ? Repentis-toi !
Je te supplie, ma chère France regarde au fond de ton cœur. Ne vois-tu pas d’où tu es tombée ? Ne vois-tu pas ta descente immorale et la nuit qui vient sur toi ? Ton épaisse couche de poussière t’empêche de respirer. N’es-tu pas encore accablée ? Tu as soif de la lumière de ton Sauveur le Christ ; appelle le pendant qu’Il peut encore être ton Sauveur car un jour, Il sera ton juge ! Il n’est pas trop tard.
Maintenant que Dieu a commencé à enlever sa protection de toi ma France, vas-tu prêter attention ? Comme un père discipline ses enfants, Il se sert de l’esprit impie qui habite chez toi comme d’une trique. Il fait cela parce qu’Il t’aime, pour te rappeler sur la bonne voie. Pleure sur tes plaies, mais si tu ne te repentis pas, je dois t’avertir qu’Il va redoubler Sa correction. Tourne toi vers Lui.
Et vous Ses vrais messagers, les ambassadeurs de Christ, vous qui êtes le sel de la terre (Matt 5 :13), la lumière du monde (Matt 5 :14), que faites-vous dans vos quatre murs à célébrer votre Dieu et à le louer, à Lui demander qu’il envoie des bénédictions sur vous et sur le pays, quand la justice est pervertie, et quand la nation s’enfonce dans la nuit du pêché ; sors de ta torpeur Eglise, repentis toi aussi de ton apathie ! Prêche l’Evangile ! Proclame la repentance ! Déclare l’appel de Dieu ! Ne sais-tu pas que la louange à Dieu est une abomination à ses oreilles quand la justice est pervertie dans les rues ? Ecoute Ses paroles : Amos 5:23-24 « Éloigne de moi le bruit de tes cantiques ; Je n'écoute pas le son de tes luths. Mais que la droiture soit comme un courant d'eau, et la justice comme un torrent qui jamais ne tarit. » Lis donc Esaie 1, serviteur du Très Haut et rappelle toi de la Parole de l’Eternel ton Dieu ; que rien n’est nouveau sous les cieux : Esaie 1:7 « Votre pays est dévasté, vos villes sont consumées par le feu, des étrangers dévorent vos campagnes sous vos yeux, ils ravagent et détruisent, comme des barbares. »
MALACHIE 3 :7 REVENEZ A MOI, ET JE REVIENDRAI A VOUS, DIT L'ÉTERNEL…
Parole reçue dans l’amour de Dieu ; par Jean-Claude Chevalme.
Novembre 2005
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